l'actuelle crise finacière qui secoue la planète bancaire est une nouvelle confirmation du verdict émis il y a longtemps: le capitalisme se nourrit des crises. parler de crise financière à ce propos est une nouvelle manoeuvre: il s'agit bel et bien de la crise majeure d'un système. ce qui est amusant c'est de voir la réaction des grands de ce monde: au jt on nous a montré une belle image du consens entre les candidats à l'élection présidentielle américaine; ils se sont tous retrouvés autour de l'actuel président dans une sainte alliance pour sauver le capital: l'Etat va déboursser plus de 700 milliards de dollars pour sauver wall street: c'est ça le libéralisme: quand ça marche on privatise les bénéfices; quand ça casse on appelle l'état à la rescousse.
c'est une magnifique leçon que wall steet est en train d'aministrer à une certaine gauche qui a chosisi d'abdiquer ; aaujourd'hui c'est véritable rappel à retrouver so identité. non décidément le capitalisme n'est pas réformable; regardez le visage hideux qu'il offre en chine avec le scandale du lait frelaté. partout ce sont les mêmes ravages: contre les hommes, contre la planète, contre l'avenir de l'humanité
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Albachado de Hassan Aourid
L’intellectuel et le pouvoir ou la déception permanente · Mohammed Bakrim « Avant d’être une histoire, le roman est une in...
-
"ce roman est le préféré de mes livres" avoue Christine Daure-Serfaty. Nous la rejoignons pour souligner d'emblée que c'e...
-
Merci les filles ! Maintenant que les polémiques autour de la programmation télévisuelle pour le mois de ramadan se sont calmées, ...
-
Maîtres et disciples La vengeance comme contrat cinématographique. C’est ainsi que l’on pourrait résumer le nouveau film de ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire