dimanche 28 septembre 2008

la mort de la critique de télévision

La mort de la critique de télévision

Le mois de ramadan se termine sur un constat: la mort de la critique de télévision. Le mois sacré réputé pour sa forte consommation cathodique a été l'occasion cette fois d'officialiser l'acte de décès d'une pratique journalistique qui sous d'autres cieux a fini par acquérir ses lettres de noblesse rejoignant en légitimité culturelle et professionnelle sa cousine la critique cinématographique. Certes parler de la disparition d'un objet, d'une pratique peut signifier qu'elle avait déjà existé; en l'occurrence pour la critique de télévision dans notre paysage médiatique, il serait plutôt judicieux de parler d'un mort-né. Les balbutiements d'un discours raisonné sur la télévision apparus dans le tournant de la fin des années 70 et les années 80 ont tout de suite révélé des symptômes qui ont fini par emporter cette lueur. Sur le cham de ruines qui s'en suivit, poussèrent alors des pratiques d'un nouveau genre, tout autre chose que de la critique. Au moment où la télévision parvient à asseoir son hégémonie sur le marché de la circulation des images, la fin de la critique de la télévision est une autre manière de dire tout simplement la fin de la télévision.
Durant ce mois de ramadan nous avons assisté à une inflation de discours, de diatribes autour d'un seul moment de la programmation, le créneau porteur de fortes potentialités publicitaires, celui du ftour. Cette séquence emblématique de notre paysage audiovisuel a fini par devenir un conducteur d'émission et multiplicateur de discours. La séquence du ftour a son propre genre télévisuel qui a fini par générer un discours sur le discours. Mais point de discours critique; des diatribes, des polémiques, des règlements de compte, des services commandés. Beaucoup de commentaires, confirmant par là une donne anthropologique chère au professeur Abdellah Laroui nous sommes une société des commentaire. La critique a disparu de l'espace publique comme elle a disparu des consciences. Elle a cédé sa place aux attachés de presse, aux commentateurs attitrés…aux campagnes de marketing, au zapping.
Derrière la critique, la vraie, il y a toujours un désir; entre autre le désir de l'objet critiqué. Il n'y a pas de critique sans amour.
Je n'ai pas l'impression que ceux qui parlent de la télévision aiment la télévision. Même les discours laudateurs donnaient l'impression d'être mus par d'autres considérations que celle de l'analyse et de la critique.
Nous avons eu affaire à des discours où l'amnésie le dispute au cynisme et au mépris.
La télévision est le medium de l'éphémère; elle a fini par produire sur elle-même un discours qui lui ressemble.

samedi 27 septembre 2008

Paul Newman: la star au coeur d'or

Une étoile de moins dans le pays des stars : Hollywood et le cinéma américain ont perdu en effet vendredi dernier une figure de légende, Paul Newman, mort d'un cancer de poumon à l'âge de 83 ans. Dans un paysage riche en vedettes et en acteurs de talent, Paul Newman a su se forger une carrière brillante et une présence qui ne manquait pas de charisme. Ses atouts dans ce sens étaient bien sûr ses qualités intrinsèques dans le jeu et la maîtrise de l'art dramatique mais aussi de grandes qualités humaines. On peut dire qu'il faisait partie de ce cercle très étroit de comédiens qui donnaient du sens à leur métier par la charge humaine et sociale qu'ils donnaient à leur action. Paul Newman était généreux dans ses rapports avec les siens et les autres et avait un grand souci de la condition humaine. Un artiste engagé à sa manière. Il faisait partie de ce Hollywood de gauche qui fait la force du cinéma américain traversé de thèmes et de sujets à caractères progressistes.
Notre père était un symbole rare de l'humilité. Il ne considérait jamais que ce qu'il faisait été extraordinaire. Discrètement, il a réussi à améliorer la vie des autres avec sa générosité", écrivent ses cinq filles dans le communiqué annonçant sa mort.
Né le 26 janvier 1925 dans la banlieue de Cleveland, il avait servi dans une unité de transmission de la marine américaine dans le Pacifique lors de la Seconde guerre mondiale. Démobilisé, il reprit ses études à la faculté Kenyon dans l'Ohio et voulut se consacrer au football, mais il fut exclu de l'équipe universitaire après une dispute.
Il rejoignit alors l'école d'arts dramatiques de Yale après avoir travaillé dans le magasin familial d'articles de sport.
Il arrive au cinéma à un tournant de Hollywood qui sortait d'une période faste marquée par le star système qui atteignit sont point paroxystique dans les années 40 Et 50. Il sut très vite s'imposer et assurer une transition vers une nouvelle génération d'acteurs dont il fut l'emblème. On peut citer à ce propos son rôle inoubliable dans Une chatte sur un toit brûlant de Richard Brooks (1958) au côté d'Elisabeth Taylor. Un personnage complexe, sportif déchu, alcoolique au penchant sexuel ambigu. Ce fut le vrai point de départ d'une carrière qui le voit travailler avec les plus grands cinéastes : Hitchcock (le rideau déchiré), Robert Wise, Martin Ritt, John Huston, Arthur Penn… Si le grand public est séduit par ce beau regard qui crève l'écran et par des interprétations dans des films à grand spectacle comme La Tour infernale, les cinéphiles gardent en mémoire des films à tendance politique ou tout simplement fortement ancré dans les problématiques du monde contemporain: Absence de malice de Sydney Pollack que je conseille aux jeunes journalistes, L'affrontement qu'il réalisa lui-même; Le verdict de Sydney Lumet; ou encore Les maîtres de l'ombre de Roland Joffe…cette brillante carrière sera bien sûr récompensée par un Oscar, tardif certes mais ô combien mérité pour son rôle dans La couleur de l'argent de Martin Scorses (1986) avec Tom Cruise. Un remake de L'Arnaqueur (1961), film où il avait joué lui-même dans le rôle que va interpréter Tom Cruise, un symbolique passage de témoin entre générations d'acteurs.

Adieu liberté

Ce fut une belle salle!
Hélas on parle déjà de la magnifique salle Liberté de Casablanca au passé. L'année 2008 confirme une tendance: rien que pour les six premiers mois, le parc des salles au Maroc a perdu neuf salles dont certaines sont prestigieuses comme l'Empire de Fès où le Rex; là où j'ai fait mes premiers pas de cinéphile. J'étais jeune élève au lycée Moulay Slimane, interne. et chaque mardi, il ya avit une scène qui attirait toujours mon attention: un groupe d'élèves plus âgés étaient servis les premiers pour le dîner et se mettaient en rang dans la cour. "ce sont les membres du Ciné-club" me donnaient-on pour explication. Ils se dirigeaient en fait au Rex pour assister à la séance hebdomadaire du ciné-club! quelle chance, ils avaient: sortir (ce qui était un événement pour un interne) et aller voir un film. depuis le début je gardaias donc cette double fascination pour l'idée d'aler au cinéma. nous avions bien un ciné-club pour nous au collège; tous les vendredis après midi en copie 16mm. mais c'était un ciné cluv qui venait chez nous. le Rex aujourd'hui redn l'âme par la faute de la mort de la cinéphile.Oui on dit beaucoup de choses sur la disparition des salles mais c'est la désaffection du public qui en est la principale cause; il n'y a plus d epublic cinéphile. Et la cinéphilie est devenue le parent pauvre de l'espace public.
Une nouvelle preuve nous a été donnée avec le traitement réservé à l'affaire du cinéma RIf: un traitement sensationnel qui en ajoute à la crise des salles. Le Camp conservateur se frotte les mains: on lui a servi un argument de choix dans sa guerre contre le cinéma.

Y a -t- il encore des villes?

L'été avec le temps des vacances est un moment de porter un nouveau regard sur l'espace, l'espace comme construction sociale, comme lieu qui dit l'effet de l'homme sur son environnement. Une impression qui se renforce avec le ramadan. Le mois sacré est l'occasion en effet de se retrouver dans son environnement; avec les lieux et les hommes. Ramadan, c'est la société qui se dévoile dans toute sa nature…réelle. C'est une séquence temporelle éloquente qui nous dresse un bilan accablant sur ce que nous sommes. Le ramadan c'est un miroir grossissant de nos contradictions. Pendant les vacances ou pendant ce mois on se révèle à soi même. Un exemple parmi mille qui dit où nous en sommes. La ville.
C’est la ville en effet qui fonde, qui illustre l’accès d’une communauté à un stade supérieur de la civilisation. C’est la ville aussi qui trahit et exprime l’échec d’un projet politique perçu comme projet de société.
Circuler dans une ville, médiner comme dit magnifiquement le poète Abdeouheb Meddeb informe sur le progrès, les mœurs et l’avancement de la démocratie d’un pays. C’est l’essence même de la notion de la cité forgée par les Grecs et présentée par Platon comme facteur décisif de l’éducation. C’est la cité qui éduque fondamentalement; c’est elle qui initie à la beauté; c’est elle qui nous forme à la culture de la tolérance. La cité est l’expression même de la démocratie car elle offre le lieu qui gère dans une cohabitation harmonieuse les différences d’origine ethnique, sociale ou professionnelle.
Où en sont nos “villes” par rapport à ce programme? C’est un spectacle de désolation qui s’offre au regard; partout la ville cède la place à la “préville” avec tout ce que cela peut charrier comme images primitives quand l’homme était un loup pour l’homme.
A se demander s’il y a une conscience qui préside à la gestion de nos villes. La liste des lacunes et dysfonctionnements est longue et variée. Par où commencer pour décrire la dégradation. Beaucoup de villes rayonnantes par le passé sont transformées en gros bourg miné par la criminalité et l’argent sale. C’est ainsi pour tous les fleurons de notre paysage urbain, les noyaux de leur population sont acculés à vivre au rythme de la nostalgie. La nostalgie d’un passé où l’urbanité avait un sens dans la vie quotidienne.
Bien sûr, il est stupide d’incriminer l’exode rural. Le charme de la ville est justement l’hospitalité et la convivialité: accueillir l’autre en détresse; qu’il vienne de la campagne ou d’une autre ville. La ville est un droit pour tous. La plus grande puissance du monde compte à peine 4% de ruraux. Aller à la ville est inscrit dans la logique d’une évolution qui est celle de l’humanité vers plus d’humanité.
La ville marocaine illustre un des aspects de la mutation globale que connaît notre société. Réussir la ville, c’est réussir le rendez-vous avec les temps modernes.

vendredi 26 septembre 2008

l'esav à l'honneur à san sebastian

Le bal des suspendus court métrage de Elmehdi Azzam, étudiant à l'école des arts visuels de Marrakech a remporté le premier prix de la rencontre internationale des écoles de cinéma, une section organisée au sein du prestigieux festival de San Sebastian la très belle ville basque du nord de l'Espagne. Le jury de cette édition, présidé par le cinéaste israélien a eu à trancher entre une grande participation puisque plus de 27 pays ont pris part à cette compétition. Le prix doté d'une bourse de 6000 euros est destiné à permettre au jeune lauréat à préparer son prochain film.c'est une distinction qui vient mettre en valeur le travail fourni au sein de l'ESAV qui en est à peine à sa trosième année. rappelons que son siège a été inauguré par le Prince Moulay Rachid à l'occasion de la 7ème édition du Fetsival International du Film de Marrakech.

Sortir du tunnel

Objet presque banal de consommation tous les jours de l'an, la télévision retrouve une certaine épaisseur sémantique avec le Ramadan: face au repli des autres sujets "publics" qui pâtissent du rythme ralenti que prennent les affaires en ce mois sacré, la télévision prend de l'intérêt parce que on en consomme davantage et parce que aussi c'est une occasion d'une forme d'évaluation de l'offre télévisuelle. Je parle de la production locale qui fait du ramadan un quasi moussem annuel pour étaler ses réalisations en matière de comédie et de dramatique. Le débat cependant est presque répétitif comme si le retour des mêmes acteurs du paysage charrie du coup le même discours. les mêmes remarques et critiques virulentes qui s'estampent une fois le croissant de Chaoual apparaît à l'horizon. Alors même que c'est une opportunité d'asseoir une vraie réflexion sur la télévision, d'un point de vue stratégique.
Ace propos, il est utile de rappeler quelques fondamentaux à la veille de la première livraison cathodique de ce nouveau ramadan. Et en premier lieu rappeler que ce qui par exemple distingue une télévision d’une autre? On pourrait partir d’une différence institutionnelle en rapport par exemple avec le statut juridique d’une chaîne. Cela donne alors le schéma canonique: chaîne publique, chaîne privée. Distinction qui en principe doit dessiner une frontière nette, au niveau de la finalité, de la démarche, du rapport au temps, des relations avec le téléspectateur… bref, une approche différenciée de la télévision là on pense moins au commerce, ici, on met la rentabilité au poste de commande. En principe, avions-nous précisé, car dans les faits ces différences ontologiques s’estompent. En regardant la présentation des programmes, on ne fait plus la différence. Je parle ici du paysage audiovisuel qui a réalisé une certaine homogénéité juridique, avec des statuts clairs pour les uns et les autres. Au Maroc ce n’est pas aussi transparent. On parle bien d'un pôle public de télévision mais les dernières déclarations du patron de ce pôle sèment le doute sur sa fiabilité. D'un point de vue théorique, l’analyse reste quand même légitime étant entendu que l’on retrouve certains comportements qui ne peuvent s’expliquer que par cette hantise de rentabilité et de sensationnalisme.
Le philosophe Henri Maler note avec pertinence: “Il ne suffit pas, explique-t-il, qu’il existe un secteur public de télévision pour qu’existe un service public de télévision”. La confusion sémantique est entretenue par des considérations strictement économiques avec ce leitmotiv: est public ce qui n’est pas privé. Ce qu’on constate par contre, c’est que “l’idée d’un service dû au public est abandonnée au nom de la rationalisation.”
Les dirigeants des deux bords se rejoignent au niveau des profils: des managers appelés à faire preuve d’une gestion efficace. Avec un maître mot: la rentabilité. Un professionnel raconte: tout ce qui n’est pas rentable doit mourir ou ne pas naître; “si je veux que mon émission voie le jour, il faut que j’amène un sponsor”. On se retrouve alors avec le cas de figure quasi-universel où ce sont les annonceurs qui font la politique des programmes des chaînes, publique ou privée. Cela se traduit par des réécritures de scénario, des têtes d’affiche imposées, un découpage temporel qui prend en compte la séquence publicitaire, un rapport au spectateur spécifique perçu d’abord comme un consommateur.
Le créneau horaire du ftour offre à ce propos un cas de figure insolite: le flot de spots publicitaires dépassent l'entendement. Ce sont des véritables tunnels qui enferment le récepteur dans un carcan. C'est une véritable violence qui est exercée. Les Mollahs de Haca qui viennent de sévir contre une émission radiophonique devraient plutôt veiller à nous faire sortir de ce tunnel. A mettre de l'ordre dans ce super marché sauvage qui envahit les foyers.

La guerre de Lola n'aura pas lieu

Finalement, Touria Jabrane l'a fait; la ministre de la culture est allée, en effet, à Alexandrie répondre à l'invitation du festival international du film d'Alexandrie qui lui rendait hommage en tant que artiste femme ayant accédé à un poste politique. Nous pensons qu'elle a fait le bon choix. Les organisateurs du festival d'Alexandrie ont commis une bévue en interdisant (il n'y a pas d'autre mot) le film de Nabil Ayouch déjà annoncé et programmé en ouverture du festival. Ils ont manqué d'élégance et de courtoisie à l'égard de Latef Lahlou dont le film, les Jardins de Samira a été sélectionné en compétition officielle. Latéf Lahlou n'est pas un cinéaste inconnu. C'est un des vétérans du cinéma marocain et africain. C'est un producteur d'envergure internationale. Son film a déjà décroché des prix importants au Maroc et à l'étranger. Le comportement des organisateurs du festival d'Alexandrie l'a acculé à retirer son film par solidarité également avec son collègue Nabil Ayouch.
Fallait-il aller dans le sens de la bêtise des organisateurs et céder à leur stupide provocation dont ils regrettent déjà eux-mêmes les retombées? Certains observateurs nationaux ont attendu un geste de la part de la comédienne et néanmoins ministre. L'argumentaire utilisé étant légèrement excessif ; on parle de "dignité bafouée" et réclamait un boycott de l'ensemble de la manifestation. Une telle attitude extrême est disproportionnée et inadéquate. La politique de la chaise vide n'a jamais été une bonne politique; en politique comme en art ; la surenchère relève certes d'un comportement "culturel" inhérent à la région mais n'aboutit qu'à l'impasse. La profession du cinéma par ses voix les plus autorisées a dit ce qu'il fallait dire à propos d'un comportement qui nuit principalement ses initiateurs. Le film de Nabil Ayouch a perdu une projection mais il a gagné une bataille. Il a montré sa force en tant qu'œuvre; une oeuvre artistique qui dérange ayant parvenu à dévoiler les contradictions et la bêtise des pseudo cinéphiles. La guerre de Lola n'aura pas lieu faute d'enjeux réels. Tant mieux pour le cinéma, le vrai.
Certains milieux conservateurs du cinéma égyptien ont l'habitude de déclencher ce genre d'opérations pour légitimer leur présence immuable à la tête de la profession du cinéma égyptien. Ils cherchent sans cesses des raisons d'exister… rappelez-vous les attaques incessantes contre le festival de Marrakech, les déclarations contre Mohamed Miftah à Oran…
En se comportant avec lucidité et avec intelligence, c'est une cartouche en moins qu'on leur enlève dans cette guéguerre d'un autre temps qu'ils cherchent à déclencher. D'autant plus que les relations entre le Maroc et l'Egypte sont appelées à d'autres rounds chauds autour notamment du poste du Directeur général de l'Unesco; poste brigué à la fois par le Maroc qui a mis en lice la candidature de Madame Aziza Bennani et par l'Egypte via la candidature de Farouk Hosni celui là même qui accueillait tout sourire notre ministre de la culture.

merci wall street

l'actuelle crise finacière qui secoue la planète bancaire est une nouvelle confirmation du verdict émis il y a longtemps: le capitalisme se nourrit des crises. parler de crise financière à ce propos est une nouvelle manoeuvre: il s'agit bel et bien de la crise majeure d'un système. ce qui est amusant c'est de voir la réaction des grands de ce monde: au jt on nous a montré une belle image du consens entre les candidats à l'élection présidentielle américaine; ils se sont tous retrouvés autour de l'actuel président dans une sainte alliance pour sauver le capital: l'Etat va déboursser plus de 700 milliards de dollars pour sauver wall street: c'est ça le libéralisme: quand ça marche on privatise les bénéfices; quand ça casse on appelle l'état à la rescousse.
c'est une magnifique leçon que wall steet est en train d'aministrer à une certaine gauche qui a chosisi d'abdiquer ; aaujourd'hui c'est véritable rappel à retrouver so identité. non décidément le capitalisme n'est pas réformable; regardez le visage hideux qu'il offre en chine avec le scandale du lait frelaté. partout ce sont les mêmes ravages: contre les hommes, contre la planète, contre l'avenir de l'humanité

Albachado de Hassan Aourid

  L’intellectuel et le pouvoir ou la déception permanente ·          Mohammed Bakrim «  Avant d’être une histoire, le roman est une in...